The Summer I Turned Pretty : Pourquoi, au fond, ça ne pouvait être que Conrad

Depuis trois saisons, The Summer I Turned Pretty tient ses spectateur.rices en haleine avec un triangle amoureux devenu culte : Belly, Conrad et Jeremiah.

Pendant des années, les fans se sont divisés en deux camps, #TeamConrad et #TeamJeremiah, chacun.e défendant son favori. Mais le final de la saison 3, diffusé sur Prime Video, a mis fin au suspense : Belly choisit Conrad, et elle le dit de son plein gré, sans pression ni culpabilité.

Alors, pourquoi ça a toujours été lui ?

Un lien fondateur

Dès les premiers épisodes, Conrad n’était pas seulement un crush d’été pour Belly : il incarnait l’adolescent insaisissable, mystérieux, qui la faisait rêver depuis l’enfance. Leur lien remonte à des années de vacances partagées, de souvenirs accumulés à Cousins.

Dans le dernier épisode, quand Conrad lui offre une fiole remplie de sable de la plage, ce geste symbolise tout : leur histoire est enracinée dans un passé commun que Jeremiah, aussi beau et drôle soit-il, ne peut pas égaler.

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L’ombre et la lumière

Conrad n’est pas le choix le plus simple : il est tourmenté, parfois distant, incapable d’exprimer ses émotions. Mais c’est précisément cette complexité qui a nourri l’intensité de leur relation. Jeremiah, avec sa chaleur et sa constance, représentait la sécurité.

Conrad, lui, incarnait le vertige. Et malgré toutes les hésitations de Belly, l’histoire a toujours été écrite comme un aller-retour entre stabilité et passion, avec Conrad comme force gravitationnelle.

La réciprocité enfin assumée

Dans l’épisode final, Belly monte dans le train pour rejoindre Conrad.

Sa phrase « I choose you of my own free will » (Je te choisis de mon plein gré) est capitale : elle n’est plus la jeune fille qui attend que Conrad se décide, ni celle qui cède par culpabilité envers Jeremiah.

Elle affirme son choix. La relation devient réciproque, adulte, équilibrée. C’est ce moment de maturité qui scelle l’évidence : Conrad n’était pas seulement “l’amour impossible”, il est devenu “le choix conscient”.

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Paris, un tournant décisif

Placer la dernière partie de la saison à Paris n’était pas anodin. Loin de Cousins, loin des souvenirs familiaux, Belly a pu se confronter à elle-même : ses colocs, sa solitude, sa brève relation avec Benito.

Paris lui a offert l’espace nécessaire pour comprendre ce qu’elle voulait vraiment. Et quand Conrad traverse l’Atlantique pour la retrouver, la boucle se ferme :

• ils ne sont plus simplement liés par l’enfance,
• mais par une décision mutuelle, assumée.

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Les fans l’avaient toujours su

Depuis les romans de Jenny Han, une partie de la fanbase n’a jamais douté que Conrad était “l’endgame”. Mais l’adaptation en série a nourri le doute, donné plus de profondeur à Jeremiah, brouillé les pistes.

Ce qui rend la scène finale encore plus cathartique : après des années d’attente, les indices disséminés depuis le début trouvent leur résolution.

La mélancolie de Conrad, ses lettres, ses gestes maladroits mais sincères… tout converge vers cette conclusion.

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L’évidence du cœur

En choisissant Conrad, Belly met fin à des années d’hésitations et scelle une évidence qui traversait toute l’histoire. Mais le final ne marque pas seulement la fin d’un triangle amoureux : il ouvre la porte à un nouveau chapitre.

Avec le film annoncé par Prime Video, The Summer I Turned Pretty: The Movie, la saga promet de prolonger cette conclusion et d’explorer ce que signifie aimer au-delà du premier choix. L’histoire de Belly et Conrad n’est donc pas (encore) terminée !