S’il faut une bonne dose d’audace pour aborder un homme, il en faut encore plus pour oser l’approcher dans un lieu insolite. Mais pas de panique, on est là pour vous aider !
L’effet de surprise
Vous avez de la chance : vous êtes une femme. Un détail qui, en matière de drague, a un avantage considérable : il vous prémunit (à quasiment 100%) du grand méchant râteau. Mieux : peu habitués qu’ils sont à voir une femme faire le premier pas, les hommes sont généralement surpris puis flattés de l’intérêt qu’une femme peut leur porter. Du coup, sauf cas exceptionnels, ils engagent volontiers la conversation, curieux de voir ce qui se cache derrière cette personnalité inattendue. Si, de surcroit, vous osez le faire dans un endroit complètement improbable (la file d’attente d’un supermarché, un hôpital, le métro…), vous ne pourrez qu’aiguiser leur curiosité.
Le second degré
Autre technique qui peut ajouter du piment à l’audace : le second degré. Montrez-lui qu’en plus d’être anticonformiste et libérée, vous êtes drôle, décalée, piquante. Jouez du contexte et riez-en. Exemple : si vous craquez sur un homme dans la salle d’attente des urgences, n’essayez même pas d’être premier degré en lui demandant, la mine défaite, quel malheur l’a conduit jusque-là. Surprenez-le plutôt en lui arrachant un sourire grâce à une formule bien trouvée : « Je viens ici tous les soirs en espérant trouver l’homme de ma vie, et vous, vous êtes là pour quoi ? ». De quoi alléger un peu l’ambiance.
Le tout pour le tout
Bon, ce n’est ni l’endroit ni le moment pour flirter effrontément, mais cet homme vous plaît vraiment et vous ne voulez pas le laisser filer. Qu’à cela ne tienne, piquez à ces messieurs l’une des plus vieilles techniques de drague et glissez votre numéro de téléphone dans la poche de son costume (ou dans les poches arrières de son jean pour les plus audacieuses) en lui susurrant un laconique « appelle-moi » à l’oreille. Oui, c’est osé, mais quel homme résisterait à la tentation ? Eux qui triment si souvent pour décrocher un numéro de téléphone, seraient-ils suffisamment fous pour ne pas composer celui qu’on leur sert sur un plateau d’argent ?