La jalousie, à moindre dose, peut avoir son charme. Mais elle peut aussi, très vite, devenir pénible, voire destructrice. Alors que faire quand votre compagnon est jaloux, voire même maladivement jaloux ? Nos conseils.
Rassurez-le
Il vous suffit de dire bonjour à un homme pour qu’il fasse un scandale et vous reproche de vouloir le tromper ? Avant de crier à la catastrophe, essayez de comprendre sa réaction : un homme jaloux est avant tout un homme amoureux qui a peur de perdre l’être aimé. Car derrière la jalousie se cache la plupart du temps un manque de confiance non pas en l’autre, mais en soi. Pour calmer ses petites crises de jalousie, le meilleur remède est bien souvent tout bête : rassurez-le ! Dites-lui que vous êtes bien à ses côtés, qu’il vous rend heureuse et que vous n’avez aucune envie d’aller voir ailleurs.
Complimentez-le
Pour apaiser ses craintes, rien de tel que de lui faire des tas de compliments en mettant l’accent sur son potentiel de séduction et sur l’effet qu’il produit sur vous. Ne ratez pas une occasion de lui dire qu’il est sexy, bien habillé, que cette chemise lui va à ravir, bref, montrez-lui qu’il vous plaît ! Au fur et à mesure, il prendra de l’assurance et son insécurité, à l’origine de ses accès de jalousie, se dissipera considérablement.
Faites pareil !
Il vous rend la vie infernale et vos pluies de compliments n’y font rien ? Prenez le taureau par les cornes et montrez-lui combien c’est invivable. Comment ? En vous transformant vous aussi en jalouse maladive : prononcer des phrases adorées des jaloux, si possible en public et à voix haute telle que « Elle te plaît, hein, dis-le qu’elle te plaît, j’ai bien vu la façon dont tu la regardais… », faites-lui les poches, fouillez dans son téléphone, posez-lui des milliers de questions sur qui il a vu, quand et comment, bref rendez-le fou ! Il finira par comprendre et par ressentir ce que vous vivez au quotidien. Une bonne leçon qui devrait le pousser à calmer ses petites crises, même si un homme jaloux le reste toujours forcément un peu. Mais un peu, on aime toutes ça, n’est-ce pas ?